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13 h 05 ; ma vie post-mortem
Pascal Baeumler
- Publibook
- Mon Petit Editeur
- 18 Avril 2013
- 9782342005158
Le 19 janvier 2007, à 13h05, âgée de 49 ans, moi Maria Delasalle je décédais d'un cancer. Neuf mois de lutte contre le crabe, contre cette tumeur sournoise, pour finalement devoir jeter l'éponge comme un vulgaire poids plume qui manquerait d'entraînement. Après mon décès, mon mari Vincent, auteur-réalisateur, entreprit de raconter notre histoire. Ma présence « Post-Mortem » lui fut d'une grande utilité, enfin je l'espère. Pour ma part, cet état de transition me donna l'occasion d'affronter une fois de plus une dangereuse libertine, style Sarko girl, fashion victime en bas nylon Body-Touch et Stiletto de chez Lanvin. Un corps de rêve contre une âme en partance. Mon dernier round !
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Alex, jeune lieutenant de l'armée française et Julie, jeune fille de seize ans, se rencontrent au premier jour de la guerre, en septembre 1939. Ils savent dès le début que leur histoire sera semée d'embûches, mais les épreuves qu'ils vont devoir affronter ne sont pas celles auxquelles ils s'attendaient. Les épreuves vont-elles avoir raison de leur histoire, ou leurs sentiments seront-ils plus forts ?
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Au début du vingtième siècle, Peter Patridge, jeune Britannique de vingt ans, quitte son Londres natal et sa famille pour le sud de l'Afrique. Idéaliste, imprégné des idées novatrices de l'époque et issu d'un milieu bourgeois, il débarque sur une terre sauvage peuplée essentiellement de fermiers Boers qui entretiennent une haine féroce envers l'envahisseur anglais. Pourtant, il ne se décourage pas. Il a entrepris ce long périple dans le dessein de retrouver un homme rencontré quelques années auparavant, dans les tranchées de la Somme, lors de la Grande Guerre, et qui a bouleversé sa vie. Un lien trouble et ambigu l'unit à cet Afrikaner qui vit dans une petite bourgade du nom de Rosetta. Plein d'espoir, il s'installe dans les Midlands du Natal, persuadé qu'en ces lieux il pourra vivre en harmonie avec lui-même.
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Chacune de nos actions a son importance, même un acte aussi anodin que louper sa station de métro peut bouleverser toute une vie, nous conduisant ainsi à des rencontres improbables mais cependant fondamentales. C'est ce que Lorelei nous dévoile au travers de son journal intime, elle qui n'est ni nixe ni sirène, seulement une jeune fille un peu trop timide et éprise de liberté...
Isabelle Morot-Sir entraîne le lecteur dans une nouvelle aventure, depuis les rues de Paris et les ranchs d'Andalousie jusqu'aux plages dorées et aux montagnes remplies de plantes et de fleurs exotiques de la Nouvelle-Calédonie. Sous ses airs de récit initiatique, une belle romance au charme dépaysant.
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L'amour sans doute, les hormones sans aucun doute !
Heleyne Vian
- Publibook
- Mon Petit Editeur
- 31 Décembre 2013
- 9782342016901
Ce roman retrace l'histoire d'une femme : enfance, mariage, divorce, décisions, doutes, bonheur... Tout y passe. Certains de nos choix sont-ils conditionnés par nos hormones ? Pourquoi prenons-nous certaines décisions ? Avant de vous engager dans une vie
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Diluvie, pays instable des amours de Peine Perdue et de l'homme qui prend la parole dans ces pages. Pays qui, au moment de basculer politiquement, au moment de se refermer sur lui-même, a dans le même temps empêché toute relation entre la Diluvienne et cet étranger contraint de quitter Polypolis, la capitale. Et tandis que le black-out s'abattait pour de longues années sur ce pays, l'homme, en deuil de sa passion, entamait une longue errance sur le globe, portant d'escale en escale ses souvenirs et fantasmes. Si la relation entre Peine Perdue et le narrateur se place sous le signe de l'absence, elle se perpétue - invulnérable mais en creux - dans les rêves de ce dernier. Ce qui confère à ce texte, frappé par la tragédie historique et les ténèbres imposées par les régimes des hommes, des tonalités lancinantes, emporté qu'il est dans le flux et le reflux de ce qui a été, de ce qui aurait pu être, de ce qui ne sera jamais.
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« Imen et Bérengère la cherchent dans tous les coins et recoins de l'appartement. Son corps est blanc, son bouchon rouge vif. Elle ne craint ni la foudre, ni les naufrages. Elle est le compagnon de référence des fleuves rapides et des lents océans, idéale pour le transport en pirogue. Elle est coussin solide, bouée de sauvetage, confortable fauteuil, profond récipient, garde-manger étanche et coffre-fort rassurant. Elle est un pot intime et personnel. Elle franchit les sauts périlleux, elle plonge à l'aveuglette, elle ne craint ni la foudre, ni les horaires fantaisistes, ni les roches immergées, ni les pertes de contrôle. On l'appelle la touque, récipient indispensable à la vie en Guyane, qui se forge dès sa conception la vitalité d'un infini récipient de fer-blanc. Sa moyenne contenance permet le transport de produits légers indispensables à l'homme moderne : les cigarettes à l'abri des eaux, le briquet à la flamme de la même façon protégée, un litre de rhum qui remplacera n'importe quel médicament, un peu d'argent pour racheter l'un et l'autre, sans oublier quelques frusques de rechange et des papiers d'identité. »
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Un soir, une gare, un regard... Un homme et une femme attendent leur train. Le voyage va les réunir, les confronter et questionner leur rapport à l'autre sexe. Qu'en sera-t-il dix ans plus tard?
Un homme et une femme se rencontrent dans un train... Autour d'un concept intimiste, Christophe Lemardelé sonde l'âme de deux êtres que tout semble opposer. Au plus près de leurs doutes, de leurs peurs, de leurs fantasmes, l'auteur signe un huit clos à deux voix, où le silence en dit long, où le moindre détail prend une ampleur décisive. Au final, une réflexion aussi touchante qu'intrigante sur l'amour, le désir, les pulsions, cette somme de petits riens qui tissent le destin d'une vie.
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« - Un signe ne se montre pas, il s'impose. Si vous le cherchez, vous le manquez. Je pourrais vous en citer des quantités, vous resterez toujours sceptique parce que vous n'êtes pas disposée à les recevoir de l'intérieur. Entraînez-vous d'abord à être attentive à ceux qui vous sont destinés dans le cadre de votre vie personnelle. Soyez persuadée que Dieu cherche à vous atteindre de cette manière. » Ce second volume de "Fais-moi un signe !" poursuit le travail d'introspection de Théophane : c'est la conversion de celui qui croyait convertir. Plus il s'éloigne de l'église plus il se rapproche d'une foi intuitive qui le fait avancer sur le chemin implacable de la transparence..
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L'herbe n'y est pas plus verte mais le ciel plus bleu...
Sylvie Rozerot vis
- Publibook
- Mon Petit Editeur
- 2 Janvier 2013
- 9782748398663
Anna s'ennuie dans une maison de retraite de la banlieue de Lyon où seule sa petite fille Sarah lui rend visite régulièrement. La neurasthénie d'Anna interroge l'adolescente qui entreprend une enquête sur la jeunesse d'Anna dont le passé semble à jamais englouti. Bientôt elle découvre un lourd secret de famille et fera tout pour rendre le sourire et quelques instants de bonheur à sa grand-mère bien aimée que la maladie ronge irrémédiablement. Au cours de son enquête familiale, Sarah fait des rencontres riches qui marqueront son chemin de vie. Les personnages rencontrés dans ce livre, ont tous essayé, à leur manière, de répondre à une question existentielle : la quête du bonheur.
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Autour d'un cri
Edith Weibel, Gérard Payen
- Publibook
- Mon Petit Editeur
- 16 Octobre 2012
- 9782748391985
« Il aurait voulu s´éclaircir la voix, aller à la rencontre de Laurène et la préparer à l´événement. Mais il ne bougeait pas, muet. Et maintenant, il était trop tard, il entendait ses pas sur les dernières marches de l´escalier, elle était là, toute proche, ne voyant d´abord que lui. Puis, en une fraction de seconde, son visage se décomposa. François put y lire l´horreur, le refus d´une horreur irréparable, juste avant ce cri. Un hurlement terrible, comme il se souvenait n´en avoir entendu qu´une fois, ce jour lointain où il sortait du Sicob à La Défense. L´air hébété, il regarda Laurène comme s´il doutait qu´un tel cri, féroce, presque inhumain, un cri qui déchirait les entrailles, pût venir d´elle. ». Pour tromper l´ennui d´une vie bien ordonnée, un homme s´engage dans une aventure sans conséquences. Croit-il. Mais en fin de compte il ne sortira pas indemne d´une expérience qui lui aura révélé certains méandres obscurs de sa personnalité et, alors qu´une nouvelle rencontre lui laisse entrevoir l´avenir lumineux dont il rêvait, il ne sait plus comment se libérer de liens pervers. Mais la quête de soi-même dans le noir peut être aussi une façon d´échapper à la grisaille des habitudes. Et sous l´éclairage des années soixante-dix, cette histoire trouvera un dénouement inattendu dont la clé nous est révélée dans les dernières pages.
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Véronique a tout perdu. Son mari l´a quittée pour toujours et sa fille est sur un lit d´hôpital sans grand espoir de guérison. Pourtant, tous les jours elle se rend au chevet de Mélissandre pour lui lire « La Princesse au petit pois ». Alors qu´elle tente de retrouver un peu d´équilibre dans cette vie brisée, elle découvre dans son nouvel appartement le journal intime d´une ado révoltée, écrit douze ans plus tôt, jour pour jour. Croyant d´abord à une coïncidence, elle s´immisce dans l´univers de Déborah et réalise peu à peu qu´elle peut tout changer. Elle peut réécrire son histoire pour inventer une meilleure fin. Mais chacune de nos décisions a des conséquences irréversibles... Et vous, si vous pouviez changer une seule chose de votre passé, que feriez-vous ?
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Val, vieux solitaire de treize ou quatorze ans. Vient cette fille, Chris, s'invitant par la lisière du petit bois d'Amour. Chris tombée des branches : Val rêve-t-il encore ? S'il nous suffisait d'ouvrir grand, là-haut, les portes de nos prisons aériennes ! Trésor d'être deux sous la hêtraie, Outremonde... A l'assaut des cimes des arbres : Val fou de sa Chris pour toujours. Nuits d'émeraude en piémont pyrénéen, Rosier nourri d'étranges lueurs.
Outremonde... Odeurs de peau et de rivière. Val & Chris : nos petits frère et soeur d'âme... Tristan & Yseult à peine nés d'hier... Célébration de très gentils héros : Ric Hochet & Nadine (par Tibet et A-P Duchâteau). Dédiée à tous nos rêves adolescents (à Tristan & Yseult en personne !), cette toile peinte imperturbablement naïve du sentiment amoureux.
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René et Delphine, affectueusement surnommée Cinette, forment un couple uni. De leur amour naît leur fille Laurence, débrouillarde gamine qui fait leur fierté. Mais soudain le rêve de Laurence se casse net. Son père, son modèle, meurt tragiquement alors qu'elle n'a que dix ans. Et les précieux instants partagés entre la mère et la fille se font de plus en plus rares, jusqu'à devenir des exceptions. Lorsque Cinette décide de se remarier, Laurence subit un nouveau choc. Elle n'a pas 12 ans et voit s'imposer deux hommes dans sa vie : Philippe, le nouvel homme de sa mère et Georges, son fils de trente ans. Un jeune homme sensible, touchant, intelligent, calme. Handicapé. Celui qui arrivera à dompter la jeune sauvage qu'elle est devenue. Celui dont elle ne doit pas tomber amoureuse. Mais peut-on seulement dompter l'Amour ?
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Dembané est originaire du Sénégal et est profondément attaché à ses origines, au point qu'il sacrifie son amour pour épouser la femme choisie par ses parents. Mais la vie en Belgique, où il réalise ses études d'ingénieur, lui ouvre d'autres perspectives. Sacrifiant sa religion et ses croyances sur l'autel de l'ambition, Dembané se lance dans de nouvelles activités commerciales qui le mèneront à sa perte.Jalonnée par les évolutions professionnelles et les rencontres amoureuses, la vie de Dembané lui offre la possibilité d'échapper à des origines qu'il renie. Splendeur et décadence du parcours d'un déraciné, ce roman initiatique suit d'un oeil critique la justice universelle fondre sur celui qui a oublié d'où il venait
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Il n'est plus revenu. Et il ne reviendra plus. Même si, au fond, elle l'attendra encore une éternité. Elle, c'est Rose-Anna. Ou Anna tout court : elle préfère. Lui, c'est Sid. L'incarnation même de la beauté qu'elle a rencontrée dans le bar où elle joue les hôtesses. Gagne-pain sordide qu'elle n'a accepté que pour nourrir son fils. Et qu'elle ne garde que pour revoir "son" client. Au fil du temps, ils se dévoilent : elle et l'écriture, lui et la prison. Chacun ses blessures.
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« L'Européen », un bar parisien. Deux êtres s'y remarquent. Une femme qui prend un nouveau départ. Un homme marié et père de deux enfants. De l'un à l'autre, l'attraction, la passion, le désir de profiter « hic et nunc » d'une relation qu'ils savent destinée à la renonciation. Pourtant, insidieusement, malgré leurs volontés de ne rien construire, de ne pas s'attacher à l'autre, leurs liens perdurent, s'affermissent, se solidifient, l'une exigeant plus que des rencontres furtives, l'autre se confrontant à une double crise : de conscience et conjugale. Car, bien qu'ils vivent leur relation clandestinement, il est déjà trop tard. Ils forment un couple secret, marginal, en lisière de la normalité et des traditions. Mais quelle durée de vie pour les amours parallèles, follement embrasées, s'étouffant lentement dans les non-dits ?
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Jean s'est suicidé. Il s'est jeté du haut d'une falaise normande. Le narrateur séropositif, avec qui Jean a partagé sa vie durant 14 ans, raconte leurs souffrances et leur histoire; il tente de donner une forme à l'indicible, à ce qui est ineffable : la souffrance. Jean est en lui, il l'écoute et les mots surgissent par vagues comme un témoignage et une tentative de recomposer le visage. Vagues de mots heurtés, l'écriture est comme l'ombre de sa présence.
Un roman simple, grave et digne. -
Ils ont trente ans d'écart, il est marié. Tout jeune enfant, il a été témoin des horreurs de la Seconde Guerre mondiale. Elle a eu une enfance privée d'amour et elle subit les effets d'évènements tragiques qu'elle a vécu. Alessandro et Marie Anne vont vivre une très grande passion. Mais au fur et à mesure qu'ils se découvrent, des différences entre eux se révèlent et risquent de faire éclater leur merveilleuse idylle. Quel est le poids qui pousse la jeune femme à fuir le bonheur ? Réussiront-ils, en abandonnant tout orgueil et en faisant preuve de compréhension, de tolérance et de générosité, à sauvegarder leur exceptionnel amour ?
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« Il parle, elle écoute, il parle, incapable d'entamer le fruit. Elle n'entreprend rien non plus. Il est entré par curiosité, pour casser le fantasme. Il a payé pour voir comment c'était au-delà de la vitrine et du bar. C'est tout. Il se trouve satisfait d'avoir eu le courage d'être arrivé jusque là, même si ce n'est pas très abouti. Il se sent un peu gêné de ne pas avoir donné l'occasion d'une pratique supplémentaire à cette fille qui a tout d'une débutante... » Lassé d'attendre devant un feu orange en amour, Simon rencontre Laurence qui lui pose un singulier défi.
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« Une histoire d'amour malgré tout... Quel homme peut prétendre connaître vraiment sa compagne? Moi, je ne sais rien, sinon que nos corps ne mentaient pas. J'ai tout le temps maintenant, avec les toits enneigés de Montmartre sous ma fenêtre, de me demander pourquoi je suis tombé amoureux d'une mendiante station Strasbourg Saint-Denis. Pourquoi j'ai accepté qu'elle vienne vivre chez moi avec son ami Marley, pourquoi j'ai accepté ce couple à trois et à problèmes alors que je vivais peinardement ma vie de prof dans un collège du Marais. Je ne saurai jamais rien d'elle, sinon qu'elle aimait les chats, qu'elle parlait à Dieu, que pendant une saison elle a été ma femme. C'est une histoire d'amour malgré tout parce qu'aujourd'hui je suis triste et que ma drôle d'amoureuse, ma drôle de menteuse me manque... » Avec pour toile de fond Paris, le récit de la relation amoureuse étrange et magique, évidente et obsédante, entre Neige, Marley et Myloup, qui évoluent en un pas de trois passionnel et magnétique, pétri de non-dits et de silences, de moments éblouissants ou mélancoliques. Une saison de Neige où l'amour se vit dans la fulgurance et la brièveté, mais gagnant en immortalité en dépit des tragédies qui ne peuvent s'éviter. Un roman qui inscrit enfin C. Wacrenier au tableau des auteurs à l'écriture subtile, lumineuse, épidermique.
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« Quand je les ai rencontrés, je ne connaissais rien encore. Ni de la vie, ni des expériences, ni de ce que l'un et l'autre étaient capables de m'apporter. J'ignorais qu'il me restait tout à apprendre, tout à connaitre. Et j'étais loin de me douter, que rien dans mes aventures, ne me plairait jamais plus, que l'intense bonheur d'avoir tout vécu à leurs côtés. Je n'imaginais pas qu'il me fut possible de tout ressentir, si vite, si fort, si intensément. Et je supposais encore moins que se trouverait bientôt sur ma route, la seule expérience, capable de me changer davantage. C'est en me cherchant moi-même, que je l'ai trouvé. Peu à peu, il a fait s'envoler, les saveurs, les promesses, les paroles et les mots. Il m'a fait oublier ce que je voulais être. Répétant, sans cesse, que j'étais mieux, encore. Il m'a présenté son monde. Il a voulu à me comprendre. Il m'a protégée, m'a dévoilée. Et sans que je ne sache comment... J'ai commencé à l'aimer. »
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Le Naufrage de Rose
Jean-François Joubert
- Publibook
- Mon Petit Editeur
- 20 Septembre 2013
- 9782342011937
Vie réelle ou fantasmagorie, le « je » narrateur se transporte sur la Terre, qui est pour lui une mer à la recherche du bonheur passé, de l'Amour défunt : Le ciel sans toi ne m'éclaire plus, je nage dans une drôle d'atmosphère, fidèle à mes convictions : celles de croire que nos chemins se croiseront à nouveau. Espoir... Tout au long de ce récit, le lecteur navigue entre deux eaux : le réel, l'Histoire, le conte onirique de la petite histoire ordinaire d'un coup de foudre, instant passion, qui dégringole et rend suicidaire de « l'Amour » l'être abandonné. Puis vivre sa quête de l'absolu, avant de venir voir sa dernière demeure, deux mondes aussi : les cieux et leur royaume qui fait si peur, et la navigation d'île sous le couvert des ailes des oiseaux, décrite ainsi par l'auteur : Jour « J». Quelques mouettes moqueuses volaient insouciantes, tourbillonnant au-dessus du cercueil, formation en V, tel un quatorze juillet, ou criant de joie leurs sensibilités de flirter en compagnie des courants ascendants et aspirants au silence de la ville, le soliloque de la campagne, une mosaïque de l'amour de la mer d'Iroise leur terroir. Au passage, elles rejetaient leurs déchets intestinaux sur de vielles pierres qui ne demandaient, elles, rien à personne et surtout pas d'ailes car elles formaient une île, homard, nommée Ouessant.