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FeniXX réédition numérique (Ramsay)
7 produits trouvés
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En toutes libertés
Danielle Mitterrand
- FeniXX réédition numérique (Éditions Ramsay)
- 12 Décembre 2018
- 9782402308205
1939-1940 : c'est la drôle de guerre... J'ai quatorze ans. Ma poitrine bat la chamade : « Et je serai à Huez. Heureux si vous le voulez, malheureux s'il vous plaît. » Le coeur chaviré, je lis et relis ce message. En cette année-là le monde gronde et vacille... Et moi, j'étais cette jeune fille en fleur et je croyais être amoureuse ! C'est le début du récit que Danielle Mitterrand fait de sa vie : ses émois d'adolescente très vite balayés par la tourmente de la guerre, son engagement auprès de ses parents dans le maquis, sa rencontre avec un homme fascinant, François Mitterrand alias Morland pour la Résistance, leur mariage follement accéléré dans la joie de la Libération... Danielle Mitterrand raconte son itinéraire de jeune épouse, de mère, puis de première dame de France - un destin de femme marqué par son attachement à un homme politique exceptionnel, par les rêves, les idéaux, les victoires et les revers partagés - ses rencontres avec les grands témoins et acteurs de l'Histoire de ces dernières décennies. Elle se livre tout entière aussi dans son autre combat, comme présidente de la fondation France-Libertés, sur le terrain humanitaire et partout où les Droits de l'homme sont menacés, aux côtés des Kurdes, du Dalaï-Lama, de Nelson Mandela ou de Fidel Castro, fustigeant la politique de tout gouvernement si sa conscience de femme libre le lui dicte. Un destin et une mémoire hors du commun.
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Fragments détachés de l'oubli
Jacques Nels
- FeniXX réédition numérique (Ramsay)
- 12 Août 2016
- 9782402155281
On ne lira pas ici des « mémoires ». Pour écrire, au soir de sa vie, des mémoires, il faut avoir pris des notes, au jour le jour. Ce n'est pas mon cas et je le regrette. Ce que j'ai essayé de faire, c'est de retrouver, par des plongées dans le souvenir, les instants importants de ma vie. Entre deux épisodes il y aura souvent de longues plages de silence. Je ne sais pas si dans ces espaces de temps inexplorés il ne s'est pas passé quelque chose de marquant, je l'ai oublié. On ne trouvera donc pas dans ces pages le récit continu de ma vie mais des fragments détachés de l'oubli. Ce livre aurait pu s'intituler Itinéraire d'un amoureux de littérature. Jacques Nels, en soixante ans, a connu tous les « grands » de notre temps. Fragments détachés de l'oubli, c'est le roman de soixante ans de vie littéraire et journalistique, soixante années d'une passion dévorante écrite avec l'amour et la force d'un jeune homme.
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La petite cuillère de Schéhérazade : sur la route de l'héroïne
Stéphane Allix
- FeniXX réédition numérique (Ramsay)
- 12 Août 2016
- 9782402130165
Oubliez le Triangle d'Or ! Le premier producteur d'opium est aujourd'hui l'Afghanistan. Quatre-vingts pour cent de l'héroïne consommée dans l'Union européenne sont fabriqués avec l'opium afghan. Oui ! Plusieurs tonnes d'héroïne arrivent en France chaque année. Aujourd'hui même, hier, demain matin, quelques kilos vont passer une des frontières de notre pays ! D'où viennent-ils ? Stéphane Allix a mené une grande enquête, à partir d'une vallée d'Afghanistan, identique à mille autres, avec ses cultivateurs d'opium. De là, il a suivi la trace de la drogue à travers l'Asie centrale, dans le Caucase puis enfin en Europe... jusqu'en France. Des milliers de kilomètres de surprises, d'investigations et de dangers réels. L'auteur sera arrêté à plusieurs reprises, la guerre des talibans l'obligera à une évacuation rocambolesque... Il rapporte de formidables informations, totalement inédites, sur le monde terrible des trafiquants de drogue. Il en suit et raconte tous les réseaux et les enjeux, dans le détail, de la production à la consommation dans nos rues. Alliant la qualité et le suspense d'un magnifique récit de voyage à l'authenticité d'un vrai grand reportage, « La petite cuillère de Schéhérazade » ouvre, sans concession, ce dossier brûlant de notre fin de siècle.
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Voilà un bon polar, sans temps morts, sans fioritures et sans longueurs. Un polar comme avant, pur et dur, avec cette fatalité qui tourne au-dessus de la tête du Métèque et ne le lâchera que lorsque son destin en aura décidé autrement. Métèque, c'est dans les grands froids de Norvège, la vengeance d'un homme du Sud en mémoire de ceux qui l'ont aidé quand il est arrivé dans ce pays, sans rien, avec seulement dans le coeur le soleil qu'il n'y a pas dehors comme dit la chanson. Métèque, c'est un roman noir comme les corbeaux, noir comme l'injustice et comme la mort, à dévorer à pleines dents comme une glace aux mille parfums.
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Le plus clair de mon temps : 1926-1987
Mac'avoy
- FeniXX réédition numérique (Ramsay)
- Pour mémoire
- 12 Août 2016
- 9782402127561
« Je dis que je suis devenu peintre parce que je n'étais pas doué pour la peinture, et qu'il faut faire dans la vie ce pour quoi on n'est pas doué ! » Né à Bordeaux, issu d'une famille aristocratique - d'origine à la fois protestante et nîmoise par sa mère, catholique et irlandaise par son père -, Mac'Avoy fréquenta, dès dix-huit ans, l'atelier de Paul-Albert Laurens à l'académie Julian : Valloton, Bonnard, Vuillard, Laprade, Clemenceau même, l'encouragent à poursuivre ses recherches picturales. En 1936, après avoir travaillé longtemps sur le motif ou d'après nature, il décide, en se consacrant exclusivement au portrait, de « réintégrer dans la peinture de [son] temps, la dignité et la présence de l'être humain unique » : Edouard Herriot prédit alors qu'il pourrait être un jour le Philippe de Champaigne de notre temps. Dans ce Journal qu'il tient depuis 1926, le peintre reconnu se révèle écrivain : mêlant son sens de l'observation à sa sensibilité, il décrit, à l'occasion des séances de pose, les attitudes de ses amis, cerne leur psychologie, rapporte leurs conversations. Ainsi se dessinent les traits de Jean Cocteau, Somerset Maugham, Arthur Honegger, André Gide, Henry de Montherlant, Pablo Picasso, Marcel et Élise Jouhandeau, François Mauriac, Paul Fort, Romaine Brooks et Natalie Barney, Marie Noël, Marc Chagall, Louise de Vilmorin, Eugène Ionesco, Maurice Béjart, Arthur Rubinstein, Alain Daniélou, Michel Tournier... Tous ces portraits sont aujourd'hui répartis dans les musées du monde entier. Edouard Mac'Avoy livre également, au fil de ces pages, maximes et aphorismes sur la morale, sur son rapport au monde, au voyage et à la société : « Dans une époque où tout est permis, j'ai choisi de tout m'interdire ». Mais il y a là, surtout, l'évolution d'une vraie réflexion sur l'acte de peindre, sur la paradoxale relation entre le portraitiste et son modèle, sur les moments forts et difficiles d'une vie quotidienne entièrement vouée à l'art, où le sentiment d'une assurance croissante le dispute sans répit au dévorant doute de soi : « La sempiternelle lutte. Le travail. La vie. Les journées. Les nuits. Je perds. Je gagne. »
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« Cette Roumanie qui depuis quelques mois nous éblouit et nous émeut, comment la percevoir ? Comment la comprendre ? Comment la sortir d'entre les idées toutes faites et les images sans épaisseur ? Comment, si ce n'est en essayant de donner un corps à ce pays, la chair d'un corps, la consistance d'un homme, la matérialité d'une histoire vécue. » Virgil Tanase a accepté de nous en parler. Son pays, ce sont des sensations, des histoires exemplaires, un certain goût des choses, un certain regard qui ne devient guère plus complaisant lorsqu'il se pose sur les réalités françaises d'aujourd'hui. Par-delà ses ballades d'enfant dans une ville en ruines jusqu'à la Révolution de décembre, en passant par l'histoire enfin racontée de sa disparition alors que les tueurs de Nicolas Ceaucescu en voulaient à sa vie, Virgil Tanase nous livre le récit vrai d'une Europe en pleine mutation qui est aussi la nôtre : « De l'Est à l'Occident, un parcours que des centaines de milliers de gens ont emprunté, que des centaines de millions d'autres ont rêvé. » En lisant ce témoignage bouleversant, nous comprenons un homme, et à travers lui un pays qui nous fascine, et à travers ce pays notre vie même « dans une époque qui cherche encore son nom mais dont les limites sont désormais connues : de la fin de la guerre à la Révolution roumaine du 22 décembre. » Ce livre, comme l'écrit Virgil Tanase, est notre album de famille d'un monde qui vient de disparaître.
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Mitterrand, ailleurs et maintenant
Jean-Luc Mano
- FeniXX réédition numérique (Ramsay)
- 1 Avril 2016
- 9782402111621
Comment avez-vous trouvé votre enterrement ? Plutôt réussi. Pluriel comme vous dites aujourd'hui. La concomitance des cérémonies de Paris et de Jarnac avait quelque chose d'inédit, d'original. Ce n'est pas donné à tout le monde de surprendre en cette dernière circonstance. J'aurai fait parler jusqu'au bout. Être accueilli deux fois par l'Église, et en présence d'une trinité si détonante, cela confinait à l'exploit, vous ne trouvez pas ? Vos dernières volontés sont-elles respectées ? À la lettre. André Rousselet s'y est employé avec sa rigueur habituelle. J'avais sollicité de la sobriété dans l'hommage de l'État, et il y en eut. J'avais souhaité que l'on évitât les discours, et l'on s'y tint. En fait, il n'y eut aucune fausse note. Et si François Mitterrand revenait ? Que dirait-il des événements qui se sont déroulés depuis sa mort ? L'ancien Président juge le théâtre politique dont il a si longtemps orchestré les représentations. Il regarde ce que le monde est devenu sans lui. Quels sont les nouveaux protagonistes de la pièce qui se joue en 1998 ?